Commémoration de la mort d'Estar (with Estar)

Alors qu'il errait dans la rue, Estarmin avait entendu un crieur qui annonçait un grand bal pour commémorer les dix ans de sa mort.
Cela faisait donc dix ans qu'il était enfermé dans ce caveau, à l’intérieur du panthéon ... Il devait donc faire attention, certaines personnes le reconnaitraient peut être. Mais la tentation était trop forte ... Il voulait assister à ce bal.

C'est ainsi que le maître Koori arriva, masqué et paré des derniers habits à la mode dans le grand hall de la salle de bal des Illuminatis.
Cette grande salle, construire récemment (il ne l'avait pas connue de son vivant) était noire de monde. Chaque personne paradait dans un concours d'étalage de sa fortune. Estar eut un haut le cœur.

"Pire que des paons. Qui sont ces gens qui amassent tant d'argent alors que les quartiers pauvres sont pires que des porcheries ? Et ils prétendent me rendre hommage ?"

Il se fraya discrètement un passage dans la foule compacte, essayant de repérer une personne qui lui permettrait de retrouver quelques souvenirs d'avant sa mort.

Soudain le silence se fit dans la salle. Tous les regards se tournèrent vers une jeune femme qui entrait dans la pièce.
Quand il la vit Estar perdit son souffle. Cette femme était d'une beauté inégalable. Alors qu'il l'observait il avait l'impression de la connaître.
Il découvrait chaque partie de son corps et de son visage avec un plaisir infini et un goût de déjà vu.
Il se sentait la tête tourner. Qui était elle ? Pourquoi lui faisait elle cet effet ? Qui avait elle été pour lui dans le passé.
Le monde autour de lui vacillait, il se sentait étouffer, il lui fallait de l'air. Il se dirigea vers la sortie ...

Peuple de Yuki, nous sommes réunis en ce jour ….

Elle avait commencé à parler et sa voix claire et teintée de tristesse déchira le coeur d'Estar. Il courrait maintenant, dans cette foule hostile et compacte, bousculant tout le monde sur son passage et créant une marrée de protestation derrière son passage. Il devait partir, il ne savait pas pourquoi mais il devait fuir !

Yamato était dans la salle pour la commémoration et observait les gens autour de lui. Un si grand nombre de noble était pour lui et ses hommes l'équivalent d'un buffet à volonté et c'était pour cela qu'il était venu avec 5 de ses hommes.

Régulièrement, il se servait dans les bourses d'un noble inattentif et changeait de rangée, comme le faisait ses hommes

"J'aime ce genre de festivités, ça nous permet toujours de nous faire un peu d'argent de poche" murmura t'il

La cérémonie touchait à sa fin lorsque Yamato remarqua qu'un de ses hommes se fit remarquer. Il bouscula un noble qui appella la garde pour l'arrêter alors qu'il s'en allait en courant.

"Pauvre crétin..."

Yamato donna le signal pour quitter les lieux et se dirigea vers la sortie, faisant un détour par le panier à offrandes en l'honneur d'Estarmin Koori et y déposa la moitié de ce qu'il avait dérobé avant de partir.

(PS-Hors RP : Je me suis permis, mais si ça gêne, n'hésitez pas à supprimer le message je ne relancerai pas)

Estarmin avait été maîtrisé par la sécurité et se débattait comme un beau diable pour sortir de leur emprise.

"Mais lâchez-moi ! Mais enfin vous ne pouvez pas m'empêcher de partir !"

Les gardes ne semblèrent pas réagir mais le lâchèrent quand une servante vint parler à leur chef.
Le Maître Koori s'épousseta ostensiblement le haut de sa veste et s'en alla en jetant un regard dédaigneux à ses tortionnaires.

"Bandes de louveteaux sans cervelle, bougonna t-il en marchant sur une allée pavée"

Et soudain, il s'arrêta et regarda autour de lui. Il faisait à présent nuit et il était dans les jardins de la salle des fêtes.
Il régnait dans ce havre de paix un silence absolu, seulement altéré par le crissement de ses pas sur les graviers de l'allée.

"Il existe donc un Yuki tel qu'on le rêvait jadis avec ma femme ..."

A ces mots, le grand homme blond s'arrêta net. Il avait donc eu une femme. Il se rappelait qu'il avait gouverné aux côtés d'une femme forte et sage. Il se rappelait l'avoir aimé profondément mais il ne se rappelait pas de qui il s'agissait ... Un trou noir total.
Son flot de pensées fut interrompu par la sensation qu'il n'était pas seul.
Il releva la tête et vit en face de lui, plus loin sur l'allée, la femme qu'il avait aperçue tout à l'heure et qui marchait en sa direction.

La salle des fêtes, ceci est bien un lieux auquel Darkel n'avais plus mit les pieds depuis longtemps... Depuis la mort d'Estarmin il faut dire. Bien que ceci ce reproduisez tout les ans et qu'il lui fut demander de préparé les feu d'artifices , Darkel n'y participer pas. Mais cette fois-ci, pour les 10 ans de la mort d'Estarmin Koori, il décida de venir, mais à sa façon. habiller d'un grand manteau noir qui cacher jusqu'au bout de son nez tout ses membres , un sac remplis de feu d'artifice de sa propres création, tenu par le dos de sa main gauche plier en arrière. A chaque pas des bruits de chaines se fessait entendre de sous ces vêtements.

Arriver a l'entrée de la salle des fêtes, deux gardes l’arrêtèrent pour inspecter le contenu du sac de feu d'artifice. Mais au moment où Darkel voulut poser son sac au sol, la porte s’ouvrie avec plusieurs garde qui poursuivez un fugitif qui apparemment avait bousculer un noble. Les deux gardes prirent en chasse l’individu. Darkel sans montrer le moindre sentiment, remis son sac comme il faut, et rentra dans la salle des fêtes.

"Je vais devoir trouver le jardin pour installer ce matériel... Je doit avant passer par le panier à offrande pour donner le présent des Abaries"

Darkel mit sa main droite dans la poche et la ressortie en tenants quelque pétale de rose et commença à marcher en direction du panier à offrande, là ou tout juste un homme venait de déposer une grande quantité d'argent et de bijou.

Elle avait ressenti le besoin, presque vital, de sortir de cette salle, emplie d'une ambiance qui la mettait mal à l'aise. Elle se dirigeait au pas de course vers la porte menant à l'extérieur de la salle de bal, dans les jardins, mais, interrompant sa course, une servante l'interpella:

Majestée, un homme chargé de mettre en place les feux d'artifice pour tout à l'heure est arrivé. Que faisons nous?

Continuant sa course, et ne prenant pas le temps de la regarder, tant elle avait besoin de prendre l'air, elle repondit d'un ton las et sec:

Guidez le vers le lac au fond des jardins, et pretez lui de la main d'oeuvre pour l'aider dans sa tache s'il le faut, je prendrai le temps de le saluer en temps voulu.

Enfin débarassée de cette énième domestique, elle acheva sa course lorsque qu'elle put enfin se plonger dans l'obscurité qui régnait à l'extérieur. Elle s'arrêta un instant, puis soupira. D'un pas bien plus leger cette fois, elle se dirigea vers un petit banc de pierre, gravé à chacune de ses extrémités par un museau de loup. Elle caressa du bout des doigts l'impressionante truffe et s'assit sur le banc avec élégance. Une nouvelle fois elle soupira et leva les yeux vers le ciel.

* Tout cela me fatigue... Oh Estar... Vois tu comme tu me manques... Pourquoi es tu parti si vite... *

Une larme commença à perler sur son visage aussi pale que la lune. Seule, en ces lieux, elle se permettait parfois des petits écarts de conduite, quand à la conduite parfaite qu'elle se devait d'avoir en présence des autres nobles. Elle se devait de dégager une image puissante et imperturbable, si elle ne voulait pas crouler le poids de la soif de pouvoir d'autres grands noms de la noblesse. Elle ne savait que très bien que beaucoup voulaient lui usurper le trone de Yuki.
Soudain, alors qu'elle se croyait seule, une ombre s'agita au loin, entre les plants de roses. Précipitament, elle reprit un visage sombre, elle se releva et avança vers l'inconnu, tout en gardant sa main droite près de la cuisse, prète à dégainer son poignard en cas d'attaque surprise...

Qui que vous soyez, veuillez décliner votre identité, et vite je vous prie. cria elle vers le suspect.

Quand la femme lui demanda fermement son identité, Estarmin tressaillit ...
Elle paraissait tellement forte. Sure d'elle, totalement affirmée. Mais en même temps, il avait l'impression qu'elle n'était ... pas complète. Comme brisée. Il ne saurait en dire plus ...
Il voulu lui répondre qu'il était un serviteur, de manière à ne pas se confronter à elle mais ne put s'empêcher de répondre :

"Je ... Je ne sais plus qui j'étais. Je sais à peine qui je suis maintenant."

Il s'arrêta, en plein milieu du sentier et continua de parler.

"Je suis désolé de vous interrompre. Je ne voulais pas vous déranger. J'étais à l’intérieur pour la fête en mon... euh en l'honneur du Maître Koori mais j'étouffais. J'ai eu l'impression que cette cérémonie sonne creux. Comme si les gens ne venaient ici que pour se montrer en société. Savent ils seulement qui est cet Estarmin ?"

Il s'arrêta un moment, troublé par le silence de cette femme.

"Mais pardonnez moi je manque à mes manières, je vous ai vue sur l'estrade, je ne voulais pas insulter votre fête. Comprenez moi, Estarmin est ... comment dire. Je le connais intimement. Euh ... puis je vous poser une question ?"

Estar, étonnamment, ressentait un stress immense en questionnant cette femme.

"Estarmin ... euh ... a t-il eu une femme ?"

Estarmin reçut la nouvelle comme un coup de poing dans l'estomac.
Il toussa et manqua de s'étouffer, les larmes montèrent à ses yeux.

*Que m'arrive t-il ? Je suis le maitre des assassins ! Je n'ai ni peur ni mal ! ... mais ... j'avais une femme !! ET c'est elle !*

Mais cette femme ... sa femme, l'interrompit.

"Si vous ignorez de telles informations, c'est que vous n'êtes absolument pas d'ici. D'où venez vous? Pour qui travaillez vous? Je vous conseille de me répondre rapidemment. Très rapidement."

Que faire ? S'il s'agissait de sa femme, elle allait croire à un maléfice en le voyant. Et comment lui expliquer qu'il ne se rappelait pas d'elle. Il ne savait même pas comment elle s'appe... Setsuna. Voilà. Au moins une bonne chose. Il se souvenait de son nom.

"Setsu ... je ... je suis de Yuki. J'ai combattu avant même que cette salle des fêtes existe. Je ..."

Que devait il faire ? Lui dire qu'il était revenu d'entre les morts ou ...

"Je crois que je vais devoir partir ma dame."

Il commença à reculer mais, un peu sonné par la situation, glissa sur les galets de l'allée et tomba à la renverse.

Setsuna l'aida à se relever et passa son bras autour d'elle.
Estarmin s'appuya sans honte contre cette femme et son parfum lui parvint au nez. Et avec lui un flot de souvenirs.
Il les vit sur la plage pour leur premier baiser. Il les vit pour son mariage.
Une vague de bonheur l'emplit. Ils avaient vécu tout ça. Il n'avait pas connu uniquement la guerre et le sang.
Un poids s'enleva de sa poitrine et il leva la tête pour regarder Setsuna dans les yeux.

Le regard bleu d'Estar éclairé par la lune se posa dans celui de Setsuna.

"Je crois bien que je suis revenu Setsu ..."

La peur nouait la gorge du prince Loup.

Après avoir déposé son butin, Yamato se dirigea vers la sortie, mais ne résista pas à l'envie de dérober un petit quelque chose sur l'homme aux feux d'artifices qui passait. Il le bouscula légèrement et prit un détonateur, avant de s'excuser et se diriger vers les jardins.

(HRP : C'est en parallèle pour une rencontre avec Darkel, Si il peut lancer un sujet "Dans les Jardins", ça sera mieux pour vous laisser tranquille. Merci )

Darkel continua sa marche en fixant l'offrande. Mais soudain son regard se détourna lentement vers l'homme qui se diriger vers lui. Ce dernier le bouscula. Sur le coup Darkel fit tomber les pédales de roses qui tenait dans sa main droite et se courba un peu sur le coter ou il a était cogner. Mais il se redressa aussitôt.

"hum..."

Darkel ne se retourna pas, mais tenait son fouet dans sa main droite dont la corde était tendus. L'autre extrémité c'était attacher a un des bras de l’individu.
Puis il lui parla d'une voix calme mais discrète pour que seul l'homme l'entende et personne d'autre, mais sa voix ne refléter pas de sentiment, donc aucune colère rien du tout.

"Désoler, mais vous m'avez pris quelque chose qui m’appartiens, je ressent un poids manquant dans ma poche, cela doit être surement le détonateur de mes feu d'artifices. Décliner votre identité, voleur. Mais ne vous inquiéter pas , la garde ne sera pas prévenu pour votre cas."

Cet instant où Estarmin plongea ses yeux dans ceux de sa femme ne dura qu'une demi seconde car un garde débarqua devant les deux Kooris.

"Maîtresse Sakurazaki, on nous rapporte des vols dans le hall principal ! Il faut que vous reveniez pour rétablir l'ordre !"

Cette dernière acquiesça et partit en courant vers la salle de bal, sans un seul regard vers Estarmin qui était resté sur le banc.
Une fois la femme disparue au coin de l'allée, Estar plongea son visage entre ses mains.

*Bon Dieu, qu'ais-je fais ? Elle ne semble pas m'avoir reconnu. Je crois que ... Je crois que je devrais disparaître.*

Il se leva alors doucement et sortit un petit papier de sa poche. Il griffonna le nom du bordel où il s'éjournait ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), signa et cloua le petit bout de papier sur le banc où ils s'étaient assis.

*Comme ça, si elle cherche un jour à me retrouver, elle pourra le faire ...*

Il s'éloigna alors du banc et s'en alla dans une allée, la tête tournée vers le ciel, pensif.

La douce lumière de la lune vint donner un visage à l'étranger qui s'adressait à elle. Une chevelure dorée et des yeux d'un bleu attirant se révélèrent. C'est comme ci le temps s'arreta l'espace d'un instant. Elle savait pertinemment qu4estarmin Koori était mort lors de la guerre du Dragon, elle avait vu et identifié son corps, elle avait vu les blessures de guerre qui jonchaient son corps, et ses yeux ne la trompaient pas. Elle était sure d'elle, pour l'avoir constater de ses propres yeux, Estarmin Koori est mort, il y a 10 ans de cela. Pourtant, cette ressemblance si frappante avec l'homme de sa vie la pétrifia. Même si sa raison lui hurlait qu'il s'agissait la d'un cas d'imposture, elle ne pouvait s'empécher de raviver une lueur d'espoir au plus profond de son coeur. Ce coeur même qui battait la chamade. Ses idées se bousculaient dans tous les sens. Elle n'arrivait plus à faire preuve de lucidité. Cette reine si forte, qui se devait de ne pas faillir à sa tache, restait la, à le regarder, à l'écouter, sans pouvoir prononcer ne serait ce qu'une seule syllable. Elle ne savait plus que penser. Oui il était bien mort ce jour là. Mais comment expliquer une telle ressemblance? Aussi physique, qu'orale? Comment pouvait il dégager cette aura si familière?

Son monde de deuil semblait défaillir, lorsque soudain, un garde arrive à fond de cale. Celuici semblait paniquait et s'adressa directement à la princesse:

Maîtresse Sakurazaki, on nous rapporte des vols dans le hall principal ! Il faut que vous reveniez pour rétablir l'ordre !

Cette annonce lui remit les idées en place. Elle ne voulut même plus regarder le visage de l'étranger, souhaitant par dessus tout revenir dans la réalité qui l'accompagnait depuis dix ans deja. Elle quitta l'homme inconnu, et auteur de son désarroi, et suivit le garde à toute allure.

Tout en courrant, les images floues de ce visage apparaissent dans sa tête comme un vieux souvenir. Chassant ces idées, elle arrive enfin devant la porte d'entrée. Deux hommes se battaient sans retenue, tandis que la foule les entourrait pour admirer le spectable. Elle reconnut immédiatement l'un de ses alliés, le seigneur Darkel, mais le second homme lui était inconnu. Prenant un visage froid, plus habituel, elle s'adressa à eux, avec colère:

Que signifie Messieurs? Serait ce trop vous demander de rester digne en ce jour funeste? Cessez immédiatement de vous battre!

"Désolé, mais vous m'avez pris quelque chose qui m’appartiens, je ressent un poids manquant dans ma poche, cela doit être surement le détonateur de mes feu d'artifices. Décliner votre identité, voleur. Mais ne vous inquiéter pas , la garde ne sera pas prévenu pour votre cas."

Yamato se retourna et jaugea l'homme qui venait de lui adresser la parole.

"Je vois, je vous remercie de ne pas les alerter mais je n'ai pas envie de vous rendre votre petit objet" Il jouait avec le détonateur. "il me semble que ce genre de jouets peut se revendre facilement..."

"Je vois, je vous remercie de ne pas les alerter mais je n'ai pas envie de vous rendre votre petit objet"

Darkel entendait l’individu jouet avec le détonateur.

"il me semble que ce genre de jouets peut se revendre facilement..."

Darkel se retourna également et fixa dans les yeux l’individu qui continuer de jouer avec le détonateur, il desserra les lien du fouet. Il mit sa main droite, dans sa poche, rangea le petit fouet, et sortie un autre détonateur . puis continua de parler doucement et calmement à l'homme. Il régla le détonateur sur une certaine fréquence

"Malheureusement pour vous, je suis une personne qui prend énormément de précaution depuis la mort de ma famille. Alors voici ce que l'on va faire."

Il pointa le détonateur a boue de bras vers l’individu et mis son pouce sur le bouton en le pressant déjà un peu.

"Vous me rendez ce détonateur qui a effectivement pour effet d'allumer les fusées derrière mon dos. soit je finit d'appuyer et cela fait exploser la bombe qui se trouve dans votre détonateur. Mais je ne souhaite faire aucun bain de sang pour le moment, donc opter pour la première option, mais je n'hésiterai pas a appliquer la seconde pour autan, civile ou non."

Darkel lacha le sac de feu d'artifice par terre et pointa son bras gauche en direction de l'homme pour recevoir le détonateur s'il accepter. Au même moment, la reine Setsuna apparut.

Que signifie Messieurs? Serait ce trop vous demander de rester digne en ce jour funeste? Cessez immédiatement de vous battre!

Mais Darkel l'ignorai sur le coup et attendez sa réponse du voleur.

"Vous me rendez ce détonateur qui a effectivement pour effet d'allumer les fusées derrière mon dos. soit je finit d'appuyer et cela fait exploser la bombe qui se trouve dans votre détonateur. Mais je ne souhaite faire aucun bain de sang pour le moment, donc opter pour la première option, mais je n'hésiterai pas a appliquer la seconde pour autan, civile ou non."

Yamato sourit un peu plus à l'annonciation de la bombe dissimulée dans le détonateur, mais ne bougea pas immédiatement. Il n'avait même pas entendu la reine Setsuna s'adresser à lui et à l'homme devant lui, il préférait examiner le détonateur, afin de voir comment celui-çi pouvait fonctionner et dissimuler une charge explosive.

une fois qu'il eut examiné l'objet, Yamato tendit l'objet vers l'homme aux feux d'artifices.

"Très bien... si c'est ce que vous voulez..." Il Lança le détonateur en manœuvre de disctraction et alla se glisser derrière l'homme pour tenter de l'immobiliser.

Pendant que l'homme observer le boitier, Darkel pressa de moin en moin le bouton, se méfiant tout de même du voleur devant lui. Puis, bien que rien ne distinguer, il jugea le voleur et commença à penser quelque instant.

*cet homme...je ressent une grande force en lui... je l'admire...*

D'un coup le voleur s'exclama.

"Très bien... si c'est ce que vous voulez..."

L'homme lui jeta le boitier et commença par la même occasion de se glisser par derrière vers Darkel. Ce dernier lacha le boitier qu'il tenait dans sa main droite et attrapa le second qui était jeter vers lui. De la main gauche, par ou essayer de passer le voleur, il l'attrapa par le bras et le redressa de force. Il se rapprocha de son oreille et commença à lui chuchoter de façon que la reine n'entende rien du tout. Tout en lui parlant d'un teint de voix sans émotion, il ne regarder pas du tout le voleur, et ne montrer toujours aucun sentiment de par son visage et geste.

"Je vous remercie pour votre coopération... Sachez que tout les illuminastis ne sont pas des simple bourgeois qui ne savent pas se défendre... Je respecte votre travail, c'est pourquoi faite semblant que ceci était une démonstration d'un arts d'espiègleries que vous souhaitiez me montrer à tout pris avant de quitter la cérémonie pour un voyage. Une dernière chose, les boitiers ne sont pas piéger."

Darkel lâcha l'homme , et recula de quelque pas. Puis il tourna son corps en s'inclinant par obligation vers la reine Setsuna.

"Nous vous prions de nous excuser, noble reine Setsuna, cette homme m'enseigner un arts avant de partir pour un très long voyage, malheureusement je ne m'attendais pas que la leçons se produise aussi vite.

darkel a écrit:

"Je vous remercie pour votre coopération... Sachez que tout les illuminastis ne sont pas des simple bourgeois qui ne savent pas se défendre... Je respecte votre travail, c'est pourquoi faite semblant que ceci était une démonstration d'un arts d'espiègleries que vous souhaitiez me montrer à tout pris avant de quitter la cérémonie pour un voyage. Une dernière chose, les boitiers ne sont pas piéger."

Darkel lâcha l'homme , et recula de quelque pas. Puis il tourna son corps en s'inclinant par obligation vers la reine Setsuna.

"Nous vous prions de nous excuser, noble reine Setsuna, cette homme m'enseigner un arts avant de partir pour un très long voyage, malheureusement je ne m'attendais pas que la leçons se produise aussi vite.

Yamato fut surpris de la réaction rapide de l'homme, mais accepta de faire ce qui était convenu. Il s'écarta de l'homme et s'inclina a son tour face à la Reine Setsuna, feignant le respect si bien qu'on ne sentait aucune ironie dans ses mots mais plutôt une grande sincérité.

"Mon nom est Yamato Hisagi, noble Reine, et je souhaite m'excuser de mes actes. En effet, votre serviteur m'avait demandé de lui enseigner une technique d'espieglerie pour éviter qu'un voleur puisse lui dérober plus qu'un simple détonateur."

Suite à ces mots, il demanda la permission de se retirer et rentra chez lui.